Jeudi 13 novembre, nous sommes allés à Bourg en Bresse pour voir un spectacle de théâtre qui s’appelait Monarque. Comme le spectacle commençait à 20h, nous avons mangé à 17h45 sur le D1 avec des Wraps et des Yop en dessert. C’était très bon.
Nous sommes partis avec le bus 22 places conduit par Adrien à 18h20. Monsieur Lançon et Lolita nous accompagnaient également pour cette soirée. Nous sommes arrivés à Bourg en Bresse à 19h30. Nous nous sommes garés sur le parking où il y avait une vogue avec des grands manèges avec beaucoup de lumière et de la musique.
Nous avons marché jusqu’au théâtre national de Bourg en Bresse.

Nous avons pris nos billets et nous nous sommes installés dans la grande salle du théâtre. Il y avait énormément de sièges rouge confortables. La salle était remplie. Il n’y avait plus de places libres.
A 20h05, le spectacle a commencé avec une vidéo qui parlait des papillons migrateurs, les monarques, qui volent librement entre la Canada et le Mexique. Parfois, lors de leur migration les papillons se blessent et des personnes les soignent pour qu’ils puissent à nouveau voler librement.
De la même manière, des hommes, des femmes et des enfants, des migrants, traversent l’Amérique pour une vie meilleure. Ils empruntent un énorme train de marchandises. Ils grimpent sur le toit des wagons pour passer les frontières de manière clandestine.
Remi P : J’ai bien aimé ce spectacle. Ce qui m’a le plus surpris, c’est quand il y avait l’orage et les éclairs et quand l’homme avec le parachute en forme de monarque est venu pour aider un migrant.
Camille : J’ai aimé le début sur les papillons. Le reste, je n’ai pas trop aimé. C’était une histoire triste car le migrant était à la recherche de son frère qu’il avait perdu. J’ai ressenti de la joie car il y avait des papillons. Et c’était très beau car j’aime bien ces sortes de papillons.

Léna : Moi, j’avais peur au début car je pensais qu’il allait y avoir des papillons dans la salle. J’ai peur des insectes et notamment des araignées et aussi des papillons. Du coup, je n’étais pas très rassurée et j’ai demandé à monsieur Lançon s’il allait y avoir des papillons dans la salle. Heureusement, non ! J’ai eu peur pendant l’orage, quand il a parlé fort. J’ai bien aimé ce spectacle émouvant. Ce qui m’a le plus impressionné, c’est quand les rideaux se sont levés et que j’ai vu le train. Ce qui m’a fait de la peine, c’est quand il y avait une femme enceinte qui ne voulait pas que son enfant sorte tout de suite car sinon, sur le train, il allait se blesser ou mourir. La pauvreté, le fait qu’ils n’aient rien à boire ou à manger, qu’ils n’aient pas de vêtements chauds, ça m’a fait de la peine. Ça m’a donné envie de les aider.


Enzo: Moi, j’ai bien aimé quand on était tous assis tranquillement dans la salle de théâtre. Au début, j’étais dans mon imagination. J’avais l’impression que c’était dans la vraie vie tellement c’était bien fait. Le train de marchandises pour transporter des pierres… mais lui il transportait aussi des migrants. J’ai pleuré à un moment quand le migrant a réussi à s’envoler dans les nuages et passer la frontière des États-Unis.

James : J’ai aimé que le début avec les vidéos sur les papillons. J’ai eu du mal à comprendre quand les migrants parlaient. J’avais l’impression qu’ils ne parlaient pas français. J’ai trouvé aussi que le spectacle était long.

Deux interviews du metteur en scène, Emmanuel Meirieu:
Teaser du spectacle:
Recopie de la trace écrite par Enzo G pour la classe Mandela 2
