IME DINAMO

Présentation d’un exercice en atelier

Je suis en atelier « espaces verts » depuis octobre 2019.

Je réalise différentes activités comme nettoyer la tondeuse ou balayer des branches.

J’ai choisi de vous présenter un exercice en atelier : broyer des végétaux.

Les outils et les machines

J’ai besoin d’une cisaille et d’un broyeur.

Diamètre maximum des branches

Je peux mettre des branches de 7 cm de diamètre au maximum.

Consignes de sécurité

Je dois manipuler les branches sans blesser des personnes autour.

Je dois protéger mes yeux, mes mains des éclats de bois.

Je dois protéger mes oreilles à cause du bruit.

Je dois faire attention à ne pas faire tomber des branches sur mes pieds.  

Equipements de protection individuelle

Je protège mes yeux avec des lunettes.

Je protège mes oreilles avec un casque.

Je protège mes pieds avec des chaussures de sécurité.

Je protège mes mains avec des gants.

Utilisation du broyat

On peut l’utiliser pour protéger les plantes en l’étalant ou pour nourrir la terre.   

Les médias permettent de transmettre des informations : journal télévisé, journal papier (presse), radio, site d’informations sur internet.

La plupart des médias utilisent les informations de l’AFP (Agence France Presse) pour rédiger leurs articles.

« L’agence France-Presse est une agence de presse mondiale et généraliste d’origine française chargée de collecter, vérifier, recouper et diffuser l’information, sous une forme neutre, fiable et utilisable directement par tous types de médias mais aussi par des grandes entreprises et administrations. » Wikipédia

Pourquoi y a-t-il tant de mauvaises nouvelles dans les médias ?

Mattéo : Parce que nous sommes dans une mauvaise période.

Alexandra : En ce moment, il y a des mauvaises nouvelles en France et dans le monde.

Océane : Moi, cela m’énerve car il y a des choses plus importantes dans la vie. Par exemple, être avec les gens qu’on aime et profiter de la vie.

Aïcha : Parce qu’il y a toujours des personnes qui font des choses négatives.

Mattéo : Parce qu’ils inventent de fausses histoires ou alors ils les dramatisent pour gagner plus d’argent.

Lucie : On nous parle de mauvaises nouvelles pour nous informer, nous mettre au courant.

Nous avons lu un article dont le titre est « Pourquoi y’a-t-il tant de mauvaises nouvelles dans les médias ? » issu des « Docs de mon quotidien » de mars 2020.

Vous pouvez le lire ici :

https://digital.playbacpresse.fr/article/pourquoi-y-a-t-il-tant-de-mauvaises-nouvelles-dans-les-medias

Voici ce que nous avons compris.

1) Souvent, nous avons des informations sur des évènements extraordinaires. Nous entendrons rarement parler d’évènements ordinaires : « on ne parle pas des trains qui arrivent à l’heure ».

2) Le cœur du métier d’un journaliste est d’informer, de transmettre des informations au plus grand nombre. Les journalistes permettent parfois de dénoncer un mensonge ou d’alerter sur un danger. 

3) Dans le monde entier, il y a aussi des bonnes nouvelles. Par exemple, les femmes et les enfants ont de plus en plus de droits et de libertés.

Il y a aussi de bonnes nouvelles dans les médias:

Elysa: Il y a des lois qui changent. Par exemple, en France, nous n’avons pas le droit de maltraiter des animaux.

Alexandra : C’est bientôt les élections municipales, il y aura surement des changements avec de nouveaux maires. Avec l’histoire du coronavirus, il n’y a pas que des morts mais aussi des personne qui guérissent. Si nous proposions un journal avec uniquement de bonnes nouvelle, le public serait plus heureux.

Matteo : Pour moi, la sortie d’un nouveau film est une bonne nouvelle !

Elysa : Les français sont de mieux en mieux informés sur les risque d’addiction.

Jeremy : Et aussi sur les dangers de l’alcool au volant.

Rapport de stage

J’ai effectué un stage à l’ESAT de la Fréta à Hauteville, les 28 et 30 janvier, les 4, 6 et 11 février. Je travaillais de 8h15 à 12h15 et de 13h30 à 16h50.

Les activités

• Les poignées de fenêtre : Je devais assembler des parties de poignée de fenêtre. J’étais assis pour travailler en compagnie d’autres personnes. Je recevais les parties de poignée, je les assemblais puis je les déposais dans un autre endroit.

• Le tri de vis : j’étais assis à mon établi, je devais prendre des vis dans une boite et les poser sur une pesette. Ensuite, j’en comptais six que je mettais dans un sachet. Enfin, je fermais le sachet et je  le déposais dans une boite

• Les extincteurs : il y avait des machines spéciales pour monter les extincteurs. J’ai parfois mis de la graisse pour éviter que cela coince pendant le montage.