J’aime la moto cross et je fais des roues avant. quand je fais des roues avant avec Aurélien, j’ai des sensations. J’aimerais faire des course de poursuite avec lui pour m’amuser. J’aimerais avoir une moto cross à moi. J’aimerais savoir où je pourrais rencontrer des gens qui font du motocross.
Je vais vous parler des villes du Nigeria parce que j’aime bien comment elle sont écrites.
J’aime bien les lettres du Nigeria parce que j aime bien comme ça sonne et je trouve ça bien écrit.
Là-bas je trouve qu’on mange assez bien avec des bon repas africains et c’est très bon : en plats chauds des bananes chaudes avec du poulet bien chaud.
Ce projet a été initié par le groupe des appartements d’Hauteville notamment par Anthéa J.
Depuis le mois de janvier et au fil des séances d’AJS du jeudi après-midi, Nolan, Brice, Valentin C., Melih, Jodie, Abdel Heddy, Alperen, Augustin, Scott et Mayline ont tous participé en mettant du cœur à l’ouvrage pour fabriquer cette lampe.
Nous avons récupéré une vieille lampe et imaginé la réalisation de ce projet ensemble. Il y a eu beaucoup d’étapes pour la réalisation :
Avec Brice, Nolan et Valentin, nous avons cherché des modèles sur Internet, regardé des tutos, et sélectionné des morceaux de bois ramassés dans la nature. Ils les ont ensuite poncés soigneusement pour donner un bel effet de bois flotté.
Nolan, Brice, Melih et Jodie ont scié des planches de bois et fabriqué un coffrage afin de faire la base du pied de la lampe en béton.
Alperen et Melih ont assemblé les morceaux de bois à l’aide de chevilles et de colle, puis ils ont préparé le béton pour couler le socle.
Une fois le pied de lampe assemblé, Abdel Heddy a passé deux couches de vernis sur le bois pour le protéger.
Les dernières étapes étaient de refaire le chapeau de lampe qui était abîmé et faire les dernières finitions. D’abord, Melih a retiré délicatement l’ancien textile. Augustin a pu ensuite coller un nouveau tissu.
Scott et Mayline ont apporté la touche finale : Scott a poncé le socle en béton, et Mayline a terminé par une couche de vernis.
Oscar a eu 13 ans le 18 mars, il a choisi de les fêter sur le groupe le mercredi 22 mars ! Il a choisi son menu qui était : Frites maison, salade, steak haché. un régal!
Dans le cadre de ma formation de monitrice-éducatrice, j’ai proposé aux bénéficiaires de l’IME de participer au mois de février, à une enquête anonyme portant sur leurs habitudes de consommation des réseaux sociaux, leurs ressentis par rapport aux conflits qui ont lieu dans les groupes de discussion, et sur leurs connaissances de base en matière d’utilisation et des risques possibles des réseaux sociaux.
L’IME compte au moment de l’enquête en février 2023, 66 élèves (21 demi-pensionnaires et 45 internes :
39 d’entre eux ont répondu au questionnaire, dont 19 garçons et 20 filles,
9 ont un téléphone mais ne vont pas sur les réseaux
8 n’ont pas de téléphone,
10 d’entre eux étaient en stage, absents ou n’ont pas souhaité répondre (1).
Habitudes de consommation des interrogés :
Fréquence d’utilisation :
28 jeunes parmi les 39 interrogés vont sur les réseaux sociaux tous les jours, 6 plusieurs fois par semaine et 5 seulement le week-end.
Réseaux sociaux utilisés :
Les réseaux sociaux utilisés en majorité par les élèves de l’IME sont Tiktok (23%), Snapchat (22%), et Instagram (20%). Dans l’ensemble, ils les utilisent pour communiquer avec leurs amis et famille, et partager des contenus visuels.
Place des réseaux sociaux dans le quotidien des bénéficiaires :
Sur les 39 interrogés, 17 estiment ne pas pouvoir se passer des réseaux, 15 déclarent être en capacité de se déconnecter mais sur une période courte, et 7 disent pouvoir s’en passer complètement.
Contenus partagés :
Les interrogés partagent essentiellement leurs photos/vidéos (25,6%) et celles de leurs camarades (18,2%), et parlent de leur vie amoureuse (15,8%).
Les disputes dans les groupes de discussion à l’IME :
Un peu plus de la moitié des personnes interrogées disent s’être senties obligées d’accepter au moins une fois une invitation dans un groupe, et une grande majorité d’entre eux a été ajoutée au moins une fois dans un groupe sans leur consentement préalable.
A la question « est-ce que tu t’en es déjà pris à un autre jeune de l’IME sur les réseaux ? », 25 ont répondu « non ». Parmi les 14 restants, ils reconnaissent avoir publié des insultes et/ou mensonges.
Parmi les 39 personnes qui ont répondu au questionnaire, 18 d’entre eux (46,2%, soit près de la moitié) déclarent avoir été victime d’insultes et/ou moqueries sur les groupes de discussion de la part d’un autre élève de l’IME.
La plupart des jeunes interrogés trouve que les disputes commencent « parfois » dans les groupes de discussion (17), les autres ont le ressenti qu’elles arrivent « la plupart du temps » (11), ou contraire « jamais » (11).
Pour une légère majorité des bénéficiaires (53,8%), les groupes de discussion sur les réseaux permettent de discuter plus calmement des disputes arrivées à l’IME.
Connaissances de base :
Protection des données :
79,5 % des sondés déclarent savoir protéger leurs comptes sur les RSN. Ils savent paramétrer leurs statuts en mode « privé », et sont en capacité de trier leurs contacts pour choisir à qui ils destinent leurs partages de contenus.
Parmi les personnes ayant répondu ne pas avoir leurs comptes protégés (soit 8 personnes sur 39), 4 d’entre elles déclarent ne pas y avoir pensé, 3 disent ne pas savoir faire, et 1 personne n’en trouve pas l’utilité.
Connaissance des risques :
74,4 % déclarent qu’il y a des dangers avérés à être sur les RSN, notamment par rapport aux risques d’insultes et de cyber harcèlement. Les autres se disent être protégés des dangers notamment par l’utilisation de pseudonyme et la mise en statut privé de leurs comptes, 5 d’entre eux pensent qu’il n’y a aucun risque car de leur point de vue, ce sont des relations virtuelles sans conséquences sur le réel.