IME DINAMO

Parfois, on peut entendre cela dans les salles de classe:

• Quoi ça sert la musique ?
• A quoi ça sert la danse ?
• A quoi ça sert le dessin ?
• A quoi ça sert la culture ?
• …

C’est un sujet assez récurrent chez les adolescents qui ne voient les actes d’apprentissage que sous l’angle d’une démarche « utilitariste » des choses.

Nous pourrions répondre simplement:

Et la musique que tu écoutes tous les jours ? Ca te fait quoi ?

On peut vivre sans musique mais on vit moins bien car la danse, la musique, le dessin… sont des langages qui permettent à l’homme de s’exprimer tout comme nous pourrions le faire avec le langage oral quand on veut s’adresser à l’autre.

Ces langages artistiques se sont des outils qui permettent de s’exprimer, de touche l’autre, de surprendre, d’ouvrir les yeux sur d’autres mondes étrangers de nous même.

André Malraux résume en peu de mots mes propos:

« La culture, c’est le plus court chemin de l’homme à l’homme. »

A quoi ça sert la danse ?

Une vidéo pour répondre à cette question :

Laurent Lançon

Aujourd’hui, nous avons visionné comme chaque jour « Arte Journal » afin de comprendre le monde et son actualité.

Nous avons découvert que des aurores boréales avaient été observées dans le Nord de la France et de l’Allemagne. C’est un phénomène très rare sous nos latitudes.

Un reportage dans arte journal nous a expliqué cet étrange phénomène. Vous le trouverez ici:

https://www.arte.tv/fr/videos/111172-043-A/arte-journal-junior/

Alors forcément, nous avons été plus loin car le magnétisme n’était pas tellement connu des élèves présents en classe.

Voici donc, deux vidéos scientifiques qui permettent d’expliquer ce phénomène:

Enfin, une vidéo pour comprendre à quoi sert le champ magnétique terrestre 😉

Vidéo made in Quebec en plus 😉

La classe Mandela 2

Toujours avec l’idée d’ouvrir les yeux des élèves de la classe mandela 2 sur le monde et son extraordinaire diversité, nous avons visionné un reportage en milieu de semaine sur la vie d’une femme sibérienne près du lac Baïkal. Une femme extraordinaire assurément !

La présentation du reportage:

Liubov, qui signifie « amour » en russe, a fêté ses 80 printemps. Cette vaillante grand-mère, qui vit seule désormais, témoigne du lien indéfectible qui la lie au lac Baïkal, en Sibérie. L’échine courbée et les doigts gelés, elle doit briser la glace pour trouver de l’eau par moins 37 degrés, mais jamais ne se décourage, viscéralement attachée à son environnement.

Seule la neige l’ennuie, qui l’empêche de conduire et l’oblige à se rendre au village le plus proche en patins à glace. Tant que le vent ne chasse pas l’épaisse couche blanche, la vieille dame est coupée du monde. Au coin du feu dans sa petite cabane, elle est plongée dans ses pensées, tournées vers ses proches disparus et notamment son frère, qui a été emporté par le lac. 

https://www.arte.tv/fr/videos/104026-000-A/la-mamie-patineuse-du-lac-baikal/

La classe Mandela 2

En classe, afin de nous ouvrir sur le monde et comprendre sa diversité, nous visionnons des reportages.

En cette fin de semaine, nous avons visionné un reportage sur la vie de femmes en Turquie.

Voici un texte de présentation:

Dans les montagnes qui bordent la mer Noire, le quotidien d’une cultivatrice septuagénaire. Une plongée dans la beauté âpre de la vie rurale turque.

Eve vit dans l’un des nombreux villages montagneux qui bordent la mer Noire, sur les haut-plateaux anatoliens. À 75 ans, cette cultivatrice de maïs passe ses journées dans les chemins escarpés, perpétuant les traditions transmises dans sa famille de génération en génération. La terre rude, baignée par le soleil et balayée de poussière, de vent ou de neige, permet la culture du maïs et de la pomme de terre. Eve et ses amies travaillent toute la journée sur les pentes et labourent, plantent ou ramassent le fumier des vaches qui sert pour l’épandage. Il faut aussi protéger les cultures des ours affamés, récolter les céréales pour les transformer en farine… En un mot : utiliser toutes les ressources de la nature, ce qui conditionne la survie des humains depuis des siècles sur ces montagnes peu hospitalières. La solidarité (notamment féminine) est indispensable pour supporter l’âpreté de la vie. Des jeunes leur prêtent parfois main-forte tandis que les hommes, eux, discutent tranquillement au café…

Dans ce beau film, Mehmet Sari s’attache à la beauté des paysages et des visages, à la vie quotidienne ponctuée par le passage des saisons et rythmée par les diverses tâches rurales et ménagères, ainsi qu’à la sororité des femmes au travail.

Le reportage ci-dessous:

https://www.arte.tv/fr/videos/104774-000-A/turquie-les-graines-du-labeur/

La classe Mandela 2