[récit de vie] La soirée paella par Maéva

Nous avons fait une soirée paella avec tous les appartements. Pour cette soirée, il y avait Mélissa qui remplaçait Grégoire. Cette soirée était super bien. Hugo a préparé la paella avec Anthony et Mélissa.

Moi, j’ai fait les courses. Joshua et Anaïs ont fait la décoration de la table.

Nous nous sommes bien amusés. C’était super bien. La soirée a commencé à 18h et s’est finie 20h30.

Ensuite, nous avons tout rangé et tout nettoyé.

Je retiens de cette soirée une bonne ambiance.

Maéva

Publié dans actualités, DINAMO2, Les classes et ateliers | Laisser un commentaire

[Atelier arts-visuel] Le stylo bille noir par Alexandre T

Publié dans actualités, DINAMO2, Les classes et ateliers | Laisser un commentaire

[CFG] Partie 3 par Mathias

Partie 3 : présentation d’un exercice d’atelier

Je vais vous présenter les étapes nécessaires à la réalisation d’un abri pour une remorque en menuiserie.

J’ai commencé par prendre les dimensions de la remorque.

Dimensions remorque :

Longueur = 3,60m

Hauteur = 1,70m

Largeur = 2,10m

J’ai ajouté rajouté : 38cm en largueur, 10cm en hauteur et 10cm en longueur.

Dimension de l’abri : 2,62m de largueur 2,58m de hauteur

J’ai commencé par tracer les plans :

– un plan vue de face au 1/10

– un plan vue de coté au 1/20

Explication des échelles:

Un plan a l’échelle 1/10 ça veut dire un plan 10 fois plus petit que la réalité.

Un plan a l’échelle 1/20 ça veut dire un plan 20 fois plus petit que la réalité.

Ainsi 1cm au 1/10 est égal à 1mm.

Ensuite, une fois tous les plans réalisés, j’ai converti toutes mes mesures à l’échelle réelle en mètre.

J’ai ensuite calculé le nombre de pièces de bois nécessaires.

Nom de la pièce nombre Longueur en m Largeur en cm Épaisseur en cm
montant 4 2,16m 16 cm 13 cm
traverses 2,90m 16cm 13cm
montant intermédiaires 2 0,70cm 16cm 13cm
pannes 3 4,04m 18cm 9cm
contre fiches 8 1,00m 7cm 13cm
chevron 18 2,00m 7cm 8cm

Ensuite, j’ai réalisé ma feuille de débit pour connaître le volume de bois à commander.

Le prix de l’épicéa au m³ est de 275 euro HT.

Pour une commande de 0,7108 m³, il faudra donc payer 195,47 euro HT.

Mathias

Publié dans actualités, DINAMO2, Les classes et ateliers | 2 commentaires

[ Cinéma ] Le film « Hors normes » par Zoé

Dimanche 15 novembre, je suis allée au cinéma avec ma mamie pour voir « Hors normes ».

Ce film parlait de jeunes enfants atteints d’autisme. Pour moi, l’autisme c’est comme être dans son monde, dans sa bulle.

Il y a deux éducateurs qui créent une association pour accueillir des enfants, des adolescents et des adultes souffrant d’autisme.

Je me rappelle d’un jeune qui voulait prendre le train tout seul mais dans le train, il va déclencher le signal d’alarme. Il dira au personnel Sncf qu’il n’a pas fait exprès.

J’ai appris des choses sur l’autisme grâce à ce film. Cela m’a donné envie d’aider des jeunes autistes pour les faire avancer.

Aimeriez-vous voir ce film ?

Savez-vous ce qu’est l’autisme ?

Si vous avez vu ce film, avez-vous été triste ?

Publié dans actualités, DINAMO1 | 2 commentaires

[ AJS pro ] L’AJS pro par Nicolas

Mardi 19 Novembre 2019

AJS PRO

Je vais vous expliquer ce que je fais dans mon atelier AJS pro.

Je trie des vis pour les mettre dans des boites selon leur forme : cruciforme, plat… Je suis bien installé seul dans un coin. Je dois faire attention à ne pas me tromper. Quand j’ai fini de travailler, je vérifie s’il n’y pas de mélange ou s’il y a des vis par terre.

Tri de vis

Je mets aussi des flyers dans chaque enveloppe. Je commence par prendre un flyer puis une enveloppe. J’enlève l’autocollant, je plie le flyer, je le mets dans l’enveloppe et je la colle. Enfin, je la range dans une boite.

Flyers et enveloppes

J’ai aussi fait du conditionnement. J’ai mis des pots de confiture et de pâté dans un panier avec une bouteille de jus de pomme. Je fais attention à ne pas casser la bouteille. Avec Guilllaume, nous préparons un sac en papier, nous ajoutons un code barre, et nous mettons le panier dedans. Nous utilisons du bolduc pour décorer comme un cadeau de Noël.

Panier garni
Publié dans actualités, DINAMO1, Les classes et ateliers | Laisser un commentaire

[ Les recettes de monsieur Barbier] La pâte brisée par Elysa

La pâte brisée

Ingrédients

1 jaune d’œuf

50g d’eau

250 g farine

125g beurre

30g sucre (si pâte sucrée)

Une cuillère de sel (si pâte salée)

Je vais vous expliquer comment faire une pâte brisée. Elle peut être sucrée ou salée, elle sert à faire des tartes.

Je prends un cul de poule, j’ajoute la farine et je verse le sucre. Puis, je découpe le beurre en petits morceaux et je sable la pâte.

Je sépare le blanc d’œuf et je mets le jaune dans la pâte.

J’incorpore en même temps l’eau puis je laisse reposer ma pâte.

Une fois que j’ai laissé la pâte se reposer, je prends le rouleau à pâtisserie et j’étale la pâte. Je dépose la pâte dans le moule et je l’aplatis avec mes doigts.

Publié dans actualités, DINAMO1, Les classes et ateliers | Laisser un commentaire

[texte libre] Mon weekend

Samedi 16 novembre, je suis allée à Maison du monde pour acheter une boule de neige et un cheval à bascule afin de décorer ma chambre et le salon. Le dimanche 17 novembre, j’ai aidé une amie de ma mère à déménager. Enfin, nous avons mangé ensemble puis je suis rentrée à la maison.

Publié dans actualités, CECOF | Laisser un commentaire

[Atelier PSE] Pourquoi s’alimenter c’est important ?

Pendant cette période, nous travaillerons en PSE avec Sonia, notre infirmière, sur l’alimentation. La question de départ :

Monsieur Lançon: Pourquoi s’alimenter c’est important ?

Anwar: C’est important pour vivre.

Audrey: Pour se sentir bien.

Anwar: Important pour la santé.

Monsieur Lançon: Si on ne mange pas on ne va pas se sentir bien ?

Audrey: On a la tête qui tourne.

Quentin : On a envie de manger.

Anwar : On est fragile parce qu’on ne pense qu’à manger.

Monsieur Lançon : Ca sert à quoi l’alimentation? De s’alimenter ?

Quentin : Sans alimentation notre corps ne peut plus fonctionner. C’est comme une voiture. Sans carburant, elle n’avance plus. Mais nous nous avons des réserves.

Laura D : Ce sont les graisses de notre corps.

Monsieur Lançon : S’alimenter, ça sert donc à faire fonctionner son corps. Et pour les travailleurs ? Les personnes qui travaillent toute la journée ?

Audrey : Manger, ça sert à travailler.

Monsieur Lançon : Et si on ne mange pas, c’est dangereux pour plusieurs raisons. Lesquelles ?

Quentin : On est dangereux pour nous et pour les autres car on peut se blesser ou blesser les autres parce qu’on manque d’énergie.

Coline : On va être fatigué. Notre corps ne pourra pas suivre.

Dorian : Il faut bien manger le matin parce que c’est le repas le plus important de la journée car comme on se réveille, on a une journée de travail devant nous et il nous faut de l’énergie.

Coline : Si on ne mange pas, on va manquer de concentration, de vigilance. Notre cerveau ne se concentrera pas sur les gestes professionnels mais sur son besoin de manger.

Monsieur Lançon : Le repas du matin, comment ça se passe pour vous ?

Coline : Ca dépend. Quand je ne sais pas quoi déjeuner, je pars au bus sans manger.Mais le week-end, je mange tout au long de la journée. Je mange tout le temps (gâteaux, chocolat…tout ce que je peux trouver sans que mes parents le voient…)

Quentin : Avant quand j’étais demi pensionnaire, je mangeais tous les matins. Depuis que je suis interne, je mange toujours le matin.

Dorian : Oui, je mange tous les matins sauf le week-end si je me lève tard (autour de 10 h).

Lirim : Moi, je ne mange pas le matin. Je bois juste un café. Je joue à la console et je n’ai pas le temps de manger.

Anwar : Moi, je bois un café et je regarde la télé. Je prends le bus ensuite. Mais le matin, je n’ai pas faim parce que je me couche tard et je mange jusqu’à 3h00 du matin (pâte, pizza…) en regardant des films ou en jouant à la console.

Laura : Moi, je ne déjeune pas. Je n’ai pas envie. Mais à l’internat, on m’oblige à manger du pain avec du beurre. J’ai peur de grossir, du coup je ne mange pas le matin mais je grignote la nuit parce que j’ai faim. Je mange des chips, des gâteaux et je bois de l’ice-tea. Le matin, je culpabilise et je ne mange pas pour ne pas grossir.

Audrey : La semaine, je mange le matin mais le week-end ça dépend de l’heure où je me lève. Si je me lève à 11h, je ne mange pas le matin.

Maéva : Le matin, à l’IME, je mange mais le week-end je ne mange pas le matin parce que je n’ai pas faim mais dans la matinée, j’ai faim donc je grignote des gâteaux et du chocolat.

La classe Dinamo 2

Publié dans actualités, DINAMO2, Les classes et ateliers | Laisser un commentaire

[Sport UNSS] : Championnat départementaux à la Praille

Cette année encore, les jeunes de l’IME DINAMO en collaboration avec le collège Paul Sixdenier ont participé aux championnats de VTT qui se déroulait à la Praille. Les épreuves étaient le trial et la descente au cours de la matinée. L’après-midi était réservé au cross-country.

Nos deux équipages sport-partagé ont su faire preuve de solidarité et d’une bonne communication ce qui leur a permis d’être sur la plus haute marche du podium.

Les médaillés
L’épreuve du cross-country
Le trial
La collaboration en tandem et le rôle du stocker
Publié dans actualités, UNSS | 2 commentaires

[atelier histoire] Comment vivait-on à Berlin, avec le mur ?

Comment vivait-on à Berlin, avec le mur ?

Pendant près de 30 ans, la ville de Berlin, en Allemagne, a été coupée en deux par un mur infranchissable. Disparu en 1989, le mur de Berlin a laissé des traces profondes dans la mémoire des Allemands. Beaucoup ont cherché à le franchir, parfois au péril de leur vie.

Mais à quoi ressemblait la vie à Berlin, quand il y avait le mur ?

mur de Berlin
Ces habitants de l’Ouest de Berlin regardent des ouvriers de l’Est construire le mur, en août 1961. (© DPA/dpa Picture-Alliance/AFP)

Imagine-toi : tu te réveilles un beau jour… et tu découvres, devant chez toi, des soldats et des rangées de fil de fer barbelé. Il n’est plus possible de traverser la rue. Impensable ? Pourtant, c’est ce qu’ont vécu les habitants de Berlin, le matin du 13 août 1961.

Du jour au lendemain, la ville a été coupée en deux par une frontière infranchissable. Très vite, les barbelés ont été remplacés par des parois de béton : le mur de Berlin était né.

Pourquoi un mur à travers Berlin ?

Parce qu’à cette époque, la ville de Berlin, en Allemagne, est déjà divisée en deux :

  • Allemagne de l’Ouest (RFA)
  • Allemagne de l’Est (RDA)

De nombreux habitants de l’Est soutiennent le gouvernement. Mais d’autres cherchent à fuir vers l’Ouest. Ils espèrent y trouver plus de libertés, et de meilleures conditions de vie. Au début, c’est assez facile : il suffit de traverser quelques rues pour s’enfuir, à condition de ne pas se faire repérer par la police.

En quelques années, ils sont 2 millions à s’échapper ainsi. Les dirigeants de l’Est ne peuvent accepter cela sans réagir : en secret, ils décident de construire un mur gigantesque, pour empêcher les mécontents de partir.

La vie continue… avec le mur

Le mur trace une frontière à travers tout Berlin. Les voitures, les bus, les métros ne peuvent plus passer d’un côté à l’autre. 13 000 familles se retrouvent séparées. Tous les jours, on voit des gens se faire des signes de loin, de chaque côté du mur.

mur de Berlin
Ces habitants de Berlin-Ouest tentent de faire des signes, par-dessus le mur, à leur famille ou leurs amis restés de l’autre côté. (© DPA/dpa Picture-Alliance/AFP)

Passer le mur, c’est risquer la mort

De nombreux Berlinois de l’Est continuent à vouloir partir malgré tout. Certains tentent leur chance de nuit, en escaladant le mur, puis en courant pour échapper aux gardes. C’est très dangereux, car les gardes n’hésitent pas à tirer. En tout, plus de 100­ personnes sont mortes en essayant de passer de l’autre côté.

Pour contourner le danger, certains décident de creuser des tunnels sous le mur. L’un d’eux, appelé « tunnel 57 », est creusé par des étudiants, à 12 mètres de profondeur. En deux nuits, il permet à 57 personnes de passer à l’Ouest. Mais les étudiants sont finalement trahis et dénoncés à la police, et le tunnel est bouché.

mur de Berlin
Cette reconstitution montre l’entrée d’un tunnel d’évasion, dans le sous-sol de Berlin. (© DPA/dpa Picture-Alliance/AFP)

Vers l’ouverture… enfin !

Parfois, des autorisations de passage sont accordées. Par exemple, en 1963, les Berlinois de l’Ouest qui avaient de la famille à l’Est sont autorisés à passer Noël avec elle, de l’autre côté du mur.

mur de Berlin
Douze points de passage très surveillés, comme celui-ci, permettent d’aller de l’autre côté du mur. (© DPA/dpa Picture-Alliance/AFP)

Malgré tout, la population de Berlin ne s’habitue pas au mur. Et lorsqu’il tombe enfin, en 1989, la joie est immense. Les retrouvailles entre l’Est et l’Ouest donnent lieu à une gigantesque fête, dont on célèbre encore le souvenir.

Informations tirées d’un jour une actu

La classe Dinamo 2

Publié dans actualités, DINAMO2, Les classes et ateliers | Laisser un commentaire