[Atelier PSE] Pourquoi s’alimenter c’est important ?

Pendant cette période, nous travaillerons en PSE avec Sonia, notre infirmière, sur l’alimentation. La question de départ :

Monsieur Lançon: Pourquoi s’alimenter c’est important ?

Anwar: C’est important pour vivre.

Audrey: Pour se sentir bien.

Anwar: Important pour la santé.

Monsieur Lançon: Si on ne mange pas on ne va pas se sentir bien ?

Audrey: On a la tête qui tourne.

Quentin : On a envie de manger.

Anwar : On est fragile parce qu’on ne pense qu’à manger.

Monsieur Lançon : Ca sert à quoi l’alimentation? De s’alimenter ?

Quentin : Sans alimentation notre corps ne peut plus fonctionner. C’est comme une voiture. Sans carburant, elle n’avance plus. Mais nous nous avons des réserves.

Laura D : Ce sont les graisses de notre corps.

Monsieur Lançon : S’alimenter, ça sert donc à faire fonctionner son corps. Et pour les travailleurs ? Les personnes qui travaillent toute la journée ?

Audrey : Manger, ça sert à travailler.

Monsieur Lançon : Et si on ne mange pas, c’est dangereux pour plusieurs raisons. Lesquelles ?

Quentin : On est dangereux pour nous et pour les autres car on peut se blesser ou blesser les autres parce qu’on manque d’énergie.

Coline : On va être fatigué. Notre corps ne pourra pas suivre.

Dorian : Il faut bien manger le matin parce que c’est le repas le plus important de la journée car comme on se réveille, on a une journée de travail devant nous et il nous faut de l’énergie.

Coline : Si on ne mange pas, on va manquer de concentration, de vigilance. Notre cerveau ne se concentrera pas sur les gestes professionnels mais sur son besoin de manger.

Monsieur Lançon : Le repas du matin, comment ça se passe pour vous ?

Coline : Ca dépend. Quand je ne sais pas quoi déjeuner, je pars au bus sans manger.Mais le week-end, je mange tout au long de la journée. Je mange tout le temps (gâteaux, chocolat…tout ce que je peux trouver sans que mes parents le voient…)

Quentin : Avant quand j’étais demi pensionnaire, je mangeais tous les matins. Depuis que je suis interne, je mange toujours le matin.

Dorian : Oui, je mange tous les matins sauf le week-end si je me lève tard (autour de 10 h).

Lirim : Moi, je ne mange pas le matin. Je bois juste un café. Je joue à la console et je n’ai pas le temps de manger.

Anwar : Moi, je bois un café et je regarde la télé. Je prends le bus ensuite. Mais le matin, je n’ai pas faim parce que je me couche tard et je mange jusqu’à 3h00 du matin (pâte, pizza…) en regardant des films ou en jouant à la console.

Laura : Moi, je ne déjeune pas. Je n’ai pas envie. Mais à l’internat, on m’oblige à manger du pain avec du beurre. J’ai peur de grossir, du coup je ne mange pas le matin mais je grignote la nuit parce que j’ai faim. Je mange des chips, des gâteaux et je bois de l’ice-tea. Le matin, je culpabilise et je ne mange pas pour ne pas grossir.

Audrey : La semaine, je mange le matin mais le week-end ça dépend de l’heure où je me lève. Si je me lève à 11h, je ne mange pas le matin.

Maéva : Le matin, à l’IME, je mange mais le week-end je ne mange pas le matin parce que je n’ai pas faim mais dans la matinée, j’ai faim donc je grignote des gâteaux et du chocolat.

La classe Dinamo 2

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[Sport UNSS] : Championnat départementaux à la Praille

Cette année encore, les jeunes de l’IME DINAMO en collaboration avec le collège Paul Sixdenier ont participé aux championnats de VTT qui se déroulait à la Praille. Les épreuves étaient le trial et la descente au cours de la matinée. L’après-midi était réservé au cross-country.

Nos deux équipages sport-partagé ont su faire preuve de solidarité et d’une bonne communication ce qui leur a permis d’être sur la plus haute marche du podium.

Les médaillés
L’épreuve du cross-country
Le trial
La collaboration en tandem et le rôle du stocker
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[atelier histoire] Comment vivait-on à Berlin, avec le mur ?

Comment vivait-on à Berlin, avec le mur ?

Pendant près de 30 ans, la ville de Berlin, en Allemagne, a été coupée en deux par un mur infranchissable. Disparu en 1989, le mur de Berlin a laissé des traces profondes dans la mémoire des Allemands. Beaucoup ont cherché à le franchir, parfois au péril de leur vie.

Mais à quoi ressemblait la vie à Berlin, quand il y avait le mur ?

mur de Berlin
Ces habitants de l’Ouest de Berlin regardent des ouvriers de l’Est construire le mur, en août 1961. (© DPA/dpa Picture-Alliance/AFP)

Imagine-toi : tu te réveilles un beau jour… et tu découvres, devant chez toi, des soldats et des rangées de fil de fer barbelé. Il n’est plus possible de traverser la rue. Impensable ? Pourtant, c’est ce qu’ont vécu les habitants de Berlin, le matin du 13 août 1961.

Du jour au lendemain, la ville a été coupée en deux par une frontière infranchissable. Très vite, les barbelés ont été remplacés par des parois de béton : le mur de Berlin était né.

Pourquoi un mur à travers Berlin ?

Parce qu’à cette époque, la ville de Berlin, en Allemagne, est déjà divisée en deux :

  • Allemagne de l’Ouest (RFA)
  • Allemagne de l’Est (RDA)

De nombreux habitants de l’Est soutiennent le gouvernement. Mais d’autres cherchent à fuir vers l’Ouest. Ils espèrent y trouver plus de libertés, et de meilleures conditions de vie. Au début, c’est assez facile : il suffit de traverser quelques rues pour s’enfuir, à condition de ne pas se faire repérer par la police.

En quelques années, ils sont 2 millions à s’échapper ainsi. Les dirigeants de l’Est ne peuvent accepter cela sans réagir : en secret, ils décident de construire un mur gigantesque, pour empêcher les mécontents de partir.

La vie continue… avec le mur

Le mur trace une frontière à travers tout Berlin. Les voitures, les bus, les métros ne peuvent plus passer d’un côté à l’autre. 13 000 familles se retrouvent séparées. Tous les jours, on voit des gens se faire des signes de loin, de chaque côté du mur.

mur de Berlin
Ces habitants de Berlin-Ouest tentent de faire des signes, par-dessus le mur, à leur famille ou leurs amis restés de l’autre côté. (© DPA/dpa Picture-Alliance/AFP)

Passer le mur, c’est risquer la mort

De nombreux Berlinois de l’Est continuent à vouloir partir malgré tout. Certains tentent leur chance de nuit, en escaladant le mur, puis en courant pour échapper aux gardes. C’est très dangereux, car les gardes n’hésitent pas à tirer. En tout, plus de 100­ personnes sont mortes en essayant de passer de l’autre côté.

Pour contourner le danger, certains décident de creuser des tunnels sous le mur. L’un d’eux, appelé « tunnel 57 », est creusé par des étudiants, à 12 mètres de profondeur. En deux nuits, il permet à 57 personnes de passer à l’Ouest. Mais les étudiants sont finalement trahis et dénoncés à la police, et le tunnel est bouché.

mur de Berlin
Cette reconstitution montre l’entrée d’un tunnel d’évasion, dans le sous-sol de Berlin. (© DPA/dpa Picture-Alliance/AFP)

Vers l’ouverture… enfin !

Parfois, des autorisations de passage sont accordées. Par exemple, en 1963, les Berlinois de l’Ouest qui avaient de la famille à l’Est sont autorisés à passer Noël avec elle, de l’autre côté du mur.

mur de Berlin
Douze points de passage très surveillés, comme celui-ci, permettent d’aller de l’autre côté du mur. (© DPA/dpa Picture-Alliance/AFP)

Malgré tout, la population de Berlin ne s’habitue pas au mur. Et lorsqu’il tombe enfin, en 1989, la joie est immense. Les retrouvailles entre l’Est et l’Ouest donnent lieu à une gigantesque fête, dont on célèbre encore le souvenir.

Informations tirées d’un jour une actu

La classe Dinamo 2

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[rapport de stage] par Ludivine

Stage au Clos fleuri à Nantua du 22 au 25 octobre 2019

Mardi 22 octobre, j’ai commencé à 9h le matin.

Je suis arrivée au Clos Fleuri.

J’ai lavé les seaux à la javel et je les ai rincés puis j’ai fait la poussière sur les étagères.

Je suis rentrée manger.

L’après-midi, j’ai recommencé à 15h et je finissais à 19 h.

L’après-midi, j’ai refait la poussière que je n’avais pas finie et en fin de soirée j’ai coupé les tiges et j’ai rentré les plantes.

Mercredi 23 octobre 2019 : j’ai commencé à 9 h et je finissais à midi. J’ai sorti les plantes. J’ai donnée à boire aux plantes en les mettant dans l’eau dans un seau. J’ai coupé les tiges des plantes et j’ai rentré les plantes.

Jeudi 24 octobre 2019 : j’ai commencé à 9 h et terminé à 12 h. J’ai sorti les plantes et je suis montée chercher des fleurs que j’ai mises dans le magasin. Je suis allée manger et l’après-midi j’ai recommencé. L’après-midi, j’ai fait des étiquettes : je devais écrire les prix des plantes sur un papier. Les prix allaient de 30 à 40 €. En fin de journée, j’ai rentré les plantes.

Vendredi 25 octobre : j’ai sorti les plantes, j’ai lavé les seaux, j’ai coupé les tiges, j’ai fait un bouquet, je suis rentrée manger et j’ai recommencé à 15h jusqu’ à 19 h. J’ai refait un bouquet et j’ai rentré les plantes. J’ai bien aimé ce stage. Pour la suite, je vais essayer de continuer à trouver un stage en fleuristerie.

Ludivine

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[ Atelier professionnel ] La planche à pain par Steven

En atelier menuiserie, j’ai fait 4 planches à pain avec du frêne et de l’okoumé. 

J’ai utilisé la scie circulaire pour faire des entailles.

J’ai collé le cadre de la planche à pain à l’aide d’un serre joint en attendant que la colle durcisse.

J’ai mis de la colle sur les baguettes, j’ai ajouté un point de colle et j’ai vissé.

J’ai utilisé la perceuse à colonne pour préparer les trous et la visseuse pour visser.

Il manquait un carré pour la planche à pain donc j’ai utilisé la scie à rubans pour en préparer un puis le rabot à main et la raboteuse pour faire les côtés. J’ai réglé la raboteuse sur 103 mm.

J’avais peur d’utiliser la scie à rubans car elle tourne vite mais au final, monsieur Gaston m’a dit que c’était droit.

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[ Rapport de stage ] Mon stage à Condamine par Zoé

Lundi 14 novembre 19

J’ai effectué un stage à l’ime de Condamine, les 8, 10, 15, 17 octobre.  Je travaillais de 9h à 14h.

Je vais vous raconter une journée type :  Le matin, je suis arrivée avec le transport de Condamine. Je me suis changée pour aller faire le ménage avec Catherine. A 10h, après avoir fini le ménage, je suis allée à la cuisine pour manger. Après avoir mangé, j’ai fait la vaisselle. Puis, je me suis changée et je suis rentrée à l’ime.

J’ai aimé faire le ménage avec l’aspirateur, un balai de lavage et des lavettes.

Je n’ai pas aimé faire la vaisselle.

J’aimerais de l’aide pour me motiver pour travailler.

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[stage aux appartements] par Laura

Stage de découverte au appartement

Du Lundi 21 Octobre au 23 Octobre, j’étais en stage découverte à l’appartement d’Hauteville.

Le lundi soir, j’ai préparé à manger avec Grégoire.

J’ai préparé un gratin de raviolis. J’ai ouvert les boites de conserve.

J’ai mis les raviolis dans un plat. J’ai rajouté un peu de lait et de crème et rajouté du fromage râpé.

J’ai cuit au four à 180°C pendant 25 minutes. Mardi soir, on a fait une soirée Halloween. Nous avons préparé un repas : on a mangé une raclette. Isabelle nous a maquillé.

On a fait un apéro. Je me suis occupé d’ouvrir les bouteilles de Champomy. J’ai servi les premiers verres. J’ai dormi dans la chambre avec Oriane. On avait aussi chacun des tâches à faire.

Je devais débarasser mon assiette et passer le balai et la serpillière dans la cuisine. On avait le droit de se coucher à 23h.

J’ai fait une soirée télévision. J’ai regardé le film Le petit Nicolas.

Le deuxième soir, c’était Le monde de Dory, je n’ai pas regardé jusqu’au bout car j’étais fatiguée.

On avait tout le temps nos téléphones. On avait le droit de dormir avec.

J’ai bien aimé la soirée qu’on a faite mardi soir.

Il y avait du monde. Il y avait des anciens élèves de l’IME. ça fait plaisir de les revoir. J’ai aussi appris à être autonome. Parfois, les éducateur nous laissaient tout seul. ils nous faisaient confiance.

ça m’a aussi appris des choses pour ma vie future, quand j’aurais ma propre maison ou mon appartement.

Laura C.

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[Récit de vie] Ma journée en SHL par Anwar

Ma journée en atelier SHL

Jeudi 18 octobre, j’étais en atelier. Je me suis changé dans les vestiaires. J’ai mis ma tenue.

J’ai préparé le chariot et je suis parti nettoyer l’unité d’enseignement de l’IME.

J’ai lavé les tables, les chaises et j’ai aspiré la terre avec l’aspirateur. J’ai lavé les sols avec la serpillière.

Après, j’ai nettoyé les toilettes avec les lavettes ainsi que les robinets et les miroirs toujours avec les lavettes.

J’ai alors fini ma matinée.

Après, j’ai pris ma pause et j’ai commencé à manger à 12:30.

Puis, j’ai repris le travail et cette fois j’ai nettoyé les ateliers «espace-vert» et «menuiserie». J’ai aspiré les vestiaires, les bureaux et j’ai nettoyé les portes avec les lavettes et enfin j’ai passé la serpillière sur les sols.

Mes impressions sur l’atelier SHL : Je n’aime pas trop. J’aimerais changer et essayer l’atelier « menuiserie ».

Anwar

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[Récit de vie] Mes vacances de la Toussaint par Johan

Mercredi 23 octobre, je suis rentré chez moi pendant une semaine

pour les vacances de la Toussaint. Mathéo L est venu chez

moi pour Halloween. Le soir, on a regardé un film d’horreur.

Ensuite, on s’est couché. Le lendemain matin, on s’est levé à

10h00 et tout l’après-midi on a joué dehors. Ensuite, on l’a ramené

chez lui à 16h00.

Bilan de mes vacances : C’était un bon moment avec Mathéo. J’aimerais bien qu’il revienne chez moi. Peut-être pour les vacances de Noël ?

Johan

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[Atelier Maths] Les nombres décimaux et la monnaie

Dans un magasin, nous pouvons trouver:

  • une calculatrice à 24,95 €
  • un sac à 21,25 €
  • un livre à 14,35 €
  • une perforatrice à 8,50 €
  • des ciseaux à 4,50 €

Question 1: Classer ces objets du plus cher au moins cher.

Question 2: Calculer la monnaie à donner exactement pour chaque objet. Exemple:

7,20€ = (1 x 5 €) + (1 x 1€) + (1 x 20cts)

Question 3: Calculer le montant total de ces objets.

Question 4: Calculer la monnaie à donner exactement pour acheter tous ces objets.

Question 5: Nous avons un billet de 100 €. Pourrons-nous acheter tous ces objets ? Si oui, combien le marchand nous rendra-t-il de monnaie ? Donner exactement la monnaie qui sera rendue comme expliqué précédemment.

La classe Dinamo 2

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